_ suмм || αиyα `

SUММEЯ ELLISOИ
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( αѕнlєү gяєєиє )

Suмм `

19 αиs `

319 αиs `

19 Иoveмвяe `

Vαмριяe `

Élève `

TENDЯE - DOUCE - APPLIQUÉE - AIMANTE
FÊTAЯDE - SILENCIEUSE - ЯENFEЯMÉE

Découvrez la playlist _ suммeя avec Clint Mansell

- SUMMEЯ ELLISON -

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Histoιяe `
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Automne 1791. Jouяnal de Summeя Ellison :

   Les douleurs sont horrible. Je ne sais pas ce que cet idiot m'a fait mais c'est affreusement douloureux. Je me suis regardée dans la glace toute à l'heure, j'ai deux petits points au niveau du cou, où il m'a mordu, je crois. Je ne sais pas vraiment ce qu'il a fait, il a simplement mis sa tête dans le creux de mon cou et après je me souviens de violentes douleurs. J'avais rencontrée Louis au bal de promo. Il était tellement sexy dans son costume. Il m'avait un peu poussée afin que j'accepte son invitation. C'est vrai que j'avais mis du temps avant de lui faire part de ma réponse. Je pensais, en premiers temps à lui dire non. J'étais une petite sage et je ne voulais pas d'une relation après la soirée. Je portais une robe longue noire que d'ailleurs, j'ai encore sur moi en ce moment. Je n'ai pas pris le temps de l'enlevée tellement j'ai mal. Louis m'avait lâchement abandonnée peu après son baiser douloureux. Je ne savais pas vraiment si c'était lui ou moi qui était la cause de ces souffrances abominable. Je me suis encore fais avoir par un garçon, décidément ils sont bien tous pareils. Louis avait du comprendre que je ne voulais pas avoir de relations sexuelle avec lui alors il m'avait laisser tombée.
J'ai un peu de mal à écrire. J'ai la tête qui tourne et pas mal de vertiges, même étant sur mon lit j'ai l'impression que je vais tombée par terre. Je me sens fatiguée, pourtant je n'ai rien fait et hier j'ai plutôt bien dormis.
Je ne comprends pas, je suis ...

   Je me suis évanouie, je crois. J'ai consultée ma montre, ça fait plus de vingt heures que je dors profondément. Maman à défoncée la porte de ma chambre et lorsqu'elle ma vu endormie elle à pris des photos. Je suis descendue dés que j'étais réveillée, en bas, ils m'ont tous trouvées très pâle et lorsque Nina, ma petite sœur me toucha la peau elle me dit que j'étais horriblement froide. J'avais beaucoup de mal à marcher et je ne me sentais pas très bien. Maman me dit de retourner au lit et elle appela un docteur. Celui-ci semblait incompétent face au mal mystérieux que je couvais. J'étais le premier cas comme ça. J'avais une température du corps en dessous de 15°. En principe je devrais-être morte ..
Il sortit, impuissant. Mes parents furent très inquiets, et de peur d'être contaminés me laissèrent dans ma chambre. J'ai beaucoup de mal à dormir les nuits, je ne suis plus fatiguée malgré mon état maladif important. Que m'arrive t-il ?
Je m'allonge quand même dans mon lit et essaye de dormir même si c'est impossible. Je commence à avoir faim et les plats que Papa et Maman m'apportent ne me rassasie plus du tout. J'ai l'impression de ne rien manger sauf quand ils me donnent de la viande et qu'elle n'est pas trop cuite et bien saignante. Là mon ventre est à demi remplit ce n'est pas trop mal mais pas pour autant assez. Je ne sais pas ce qui m'arrive, habituellement je ne mange rien du tout et là, je pourrais avaler un troupeau de buffles. Mes parents eux aussi on un peu de mal à comprendre. Ils ne cessent de me remplir mes assiettes mais je me plains toujours d'avoir faim.
J'ai fais quelques recherches sur internet mais je n'ai rien trouvée du tout. Mon mal n'est visiblement pas connu. J'ai sautée plusieurs pages lors des recherches car elles ne parlaient que des Vampires. Impossible de trouvée une page d'un livre pharmaceutique.
Je m'affaiblissais de plus en plus et bientôt je ne pouvais même plus me levée de mon lit. Je passée mes journées à faire des recherches sur internet sans trouver la moindre choses pouvant m'aider à définir la maladie qui me détruisais de jours en jours. Sans faire attention un beau matin j'appuie sur une page concernant les Vampires. N'ayant rien d'autre à faire je la lues pendant plusieurs moments. Les choses écrites étaient les syndromes que j'avais. Peau blanche et froide, faiblesse si pas nourrir de sang ...
Impossible ..
J'attrape mon portable et tape le numéro de Louis. J'entends sa voix et lui demande de venir immédiatement, lui semblait heureux de m'entendre et aussi il semblait attendre mon appelle.
En quelques minutes il était là, dans ma chambre. Il était passé par la fenêtre. Je reste bouche-bée pendant plusieurs minutes et le regarde longuement. Louis me raconta alors, il me raconta son histoire, sa vie. Je l'écoutais attentivement, même si j'avais beaucoup de mal à comprendre et à croire que tout cela existait réellement. Pendant plusieurs heures nous parlions. Peut-être quatre, peut-être cinq, peut-être même plus, je ne sais pas mais nous restions longtemps tout deux.
Je devais donc me nourrir d'humains pour retrouver mes forces ? Tuer des humains pour vivre ...
Il sortit de ma chambre, tout sourire, me laissant là, à réfléchir.

    Ça fait une semaine maintenant. Une semaine que Louis est venu et qu'il m'a expliqué ce que devait-être ma nouvelle vie. Je refusais, je refusais catégoriquement de tuer qui-que-ce-soit pour vivre. Plutôt me laisser mourir petit à petit ...

            [ PAGE PERDUE ]

    Tout est allé tellement vite. Je n'ai eu le temps de rien faire. Nina était rentrée dans ma chambre, ne supportant plus l'idée de ne pas me voir. Elle c'était coupée le doigt et saignée un peu. Elle voulait que je la soigne, que je lui mette un pansement ...
Lorsqu'elle franchit le pas de ma porte je lui sauta dessus, l'embrassa, heureuse de la revoir. J'avais trouvée la force de me levée et de la prendre dans mes bras. J'étais tellement heureuse .. Cette maudite odeur, maudite odeur de sang qui gâcha ma vie, qui mis fin à sa vie, ses vies ...
Mes yeux passèrent aux rouges écarlate. Nina eut peur, mes traits étaient tirés et mon regard méchant. Je planta mes crocs dans sa chair si tendre, si jeune ... Ne pouvant lutter, elle hurla, elle hurla, mais je ne m'arrêta pas, je continuais de boire, de la vider de son sang, de sa vie ..
Elle ne bougea plus. J'avais finis. J'essuie ma bouche et regarde son petit corps inanimé gisant dans mes bras. Je m'effondre sur les genoux, Nina toujours dans mes bras. Une larme roule sur ma joue froide, une autre, puis une autre ... Je hurle, je hurle tellement fort que j'en pleure encore. « Non, non, non .. » Je hurle, toujours plus fort, encore plus longuement, me cassant la voix .. « Nina, Nina, revient. Non, Nina ! Ne me laisse pas !! Qu'est-ce-que j'ai fais ? Nina, ne m'abandonne pas ... » Elle ne bougeais plus, petite poupée de cristal inanimée dans mes bras. Morte. Tuée par moi ..
Mes parents arrivent en courant et l'aperçoivent morte dans mes bras. J'ai faim, tellement faim. Non, je ne dois pas, non il ne faut pas .. Je dois résister, je ne dois pas les tuer ..
Je laisse tombée ma petite sœur au sol, n'essayant même pas de la retenir et me jette sur mes parents. Plantant mes crocs dans leurs cou. Ils se débattent mais peu m'importe. J'ai tellement faim ..
Eux aussi, tombent, vidés de leurs sangs. Morts ..
J'entends les sirènes de la Police. Les voisins ont entendus des cris et les on appelées. Ils ont bien fait, mais je dois m'enfuir. Il faut que je parle d'ici .. Je commence à ranger quelques affaires et soudainement m'arrête et regarde Nina. Ses yeux étaient ouverts, ils semblaient me regardaient, mais elle était morte. Je pose mon sac d'affaires et la reprend dans les bras. Je lui caresse la tête et la pose délicatement sur mon lit. « Pardonne-moi Nina .. » Murmurais-je les larmes aux yeux. Je lui embrasse doucement le front et lui ferme les yeux. Je déplie la couverture et lui pose dessus. Je reste pendant quelques minutes à observée le bout de tissus posée sur ma sœur. Les appellent des Policiers me sortirent de mes pensées. Je prend mon sac d'affaires bien remplis et descend en bas. Je prend le portefeuille de mes parents et remonte en haut. Je les regarde tout deux et les posent dans ma chambre, leurs mettant à eux aussi une couverture sur la tête. J'ouvre la fenêtre de ma chambre et tourne une dernière fois la tête vers eux trois. Une larme roule de nouveau sur ma joue droite « Pardonnez-moi tous .. ».
Je baisse la tête et entendis les Flics entrés de force dans la maison. Je soupire et saute par la fenêtre ... m'enfuyant loin, très loin ...